COMMUNIQUES
DE PRESSE
- 19 JUIN 2003 -

ACCUEIL

HISTOIRE

PRESENTATION

REVUE DE PRESSE

COMMUNIQUES

ENQUÊTES

INTERVENTIONS

ACTUALITE/ACTIONS

LIENS

CONTACT

----

PROVOCATION NEO-NAZIE A LIVRY-GARGAN :
QUAND NEGATIONNISTES ET NEO-NAZIS 
SE FONT PASSER POUR "ATTAC" !

Nous dénoncions le 13 juin l’organisation d’une réunion confidentielle de néo-nazis et négationnistes à Livry-Gargan (93190), dans une salle de la municipalité, prévue le samedi 14 juin.

 

Les suites de notre action, et notamment les réactions d’élus locaux, nous conduisent non seulement à dénoncer cette provocation néo-nazie, mais aussi à exiger des suites judiciaires de la municipalité !

 

En effet, cette salle avait été réservée par un conseiller municipal, membre du Mouvement Républicain et Citoyen (MRC, ex-MDC) de Chevènement et participant jusque-là à la majorité de gauche de Livry-Gargan. Dérive « rouge-brune » ou sincérité manipulée par ce groupuscule néo-nazi ?

 

Et ce n’est pas tout ! Car la réservation a été faite au nom de l’association « ATTAC », dont on a usurpé le nom !

Le tout constituant au regard du code pénal les délits de faux, usage de faux et abus de confiance.

 

L’inspirateur de la réunion néo-nazie, qui est aussi le gourou de la secte sataniste OTO, n’en est pas à son coup d’essai en la matière.

Au cours des dernières années, il a fait l’objet de poursuites pour plagiat et contrefaçon de la part des Editions DARGAUD et des Editions MACHIAVEL.

Il est aussi accusé sur Internet, preuves à l’appui, d’avoir plagié un ouvrage anglais pour la rédaction de sa thèse de doctorat d’anthropologie, consacrée à … Aleister Crowley, mage et barbouze britannique, qui fonda la secte OTO au début du siècle précédent.

Ce qui ne semble pas émouvoir le ministère de l’éducation nationale malgré le scandale patent !

 

L’usurpation d’identité pour obtenir une salle de réunion n’est pas une première pour cette mouvance.

Au début des années 90, le même sinistre personnage appartenait aussi à une autre structure sectaire d’extrême-droite, le « Groupe de Thèbes », qui se réunissait au siège de l’organisation franc-maçonne du Grand Orient de France, rue Cadet à Paris, le tout sous couvert de « recherche ésotérique » (scandale révélé à l’époque par le journaliste Serge Faubert dans l’ « Evénement du Jeudi »).

 

Interdire une salle, c’est bien !

Poursuivre en justice ces néonazis, c’est mieux !

 

Accueil


Webmaster : Luc Michel : 128 rue de Montigny - Bte 01 - B/6000 Charleroi