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---- 3EME PARTIE DE NOTRE ENQUETE : En
septembre dernier, nous révélions – DOCUMENTS IRREFUTABLES A L’APPUI
- les alliances sulfureuses établies entre le PTB, un
groupuscule anarcho-maoïste belge, et les milieux néo-nazis et négationnistes
français (Lire la 1ere PARTIE). Pour
toute réponse, le PTB, fidèle à ses habitudes, déversa sur nous un
flot d’injures et de mensonges. Nous reviendrons prochainement, AVEC
DE NOUVELLES PREUVES, sur ces collusions, qui n’ont pas cessé
depuis la publication de notre enquête. L’infiltration
du PTB par l’extrême-droite est une réalité que ne dissimulent plus
les insultes de ses dirigeants. Un
nouvel exemple nous en est donné avec la liste du PTB aux élections
régionales du 13 juin 2004 à CHARLEROI. Parmi
les candidats suppléants – et en compagnie d’un « webmaster
communiste » qui diffuse des analyses de sources néo-nazies –
on trouve un certain Michel MATHOT, présenté comme « bénévole
dans des associations d’entraide ». En
fait d’ « associations d’entraide », MATHOT est
en réalité le dernier responsable du « Front Nouveau de Belgique »
(FNB) à Charleroi ! En 1994, il était candidat à Charleroi sur
les listes du « Parti Social National » (ce qui est aisément
vérifiable dans les archives de la « Nouvelle Gazette » de
septembre 1994). En 2002, il signait ainsi une pétition sur le Net comme « responsable de la section de Charleroi du FNB ». Au
cas où la direction du PTB nierait à nouveau et se réfugierait sous
un nouveau flot d’insultes, un vent favorable nous a fait parvenir
le bordereau de payement de la cotisation de MATHOT au FNB, comme
« membre actif » pour l’année 2003, le 7 octobre 2002,
son numéro de carte étant le 2003-2884. Soit le PTB, en crise, subissant la scission de son ancienne secrétaire-générale, et qui fait flèches de tous bois, notamment pour remplir ses listes de candidats, savait et a menti à ses électeurs. Soit
le PTB l’ignorait et cela révèle son degré d’infiltration. Certes,
chacun a le droit de changer d’avis. Mais le parcours politique de
MATHOT en zig-zag donne le tournis : En 1994, il est membre du Front National, puis dirige la scission de celui-ci à Charleroi connue sous le nom de « Parti Social National » (tout un programme !). Mathot est alors contre les immigrés et pour le nationalisme belge. En
1995, il infiltre la mouvance nationale-communiste – dont il est exclu
après que son passé ait été découvert - et soutient donc une
formation républicaine, anti-belge, pro-arabe, qui exige le droit de
vote pour les immigrés. En
2002, après une éclipse politique, on le retrouve au FNB. Mathot est
donc à nouveau contre l’immigration et favorable à la Belgique de
papa. En
mai 2004, le voilà candidat du PTB, sur une liste pro-immigration. Etrange
parcours, qui révèle un curieux manque de Sûreté – ou trop ?
– dans ses choix politiques … Libre de droit – Reproduction partielle ou entière libre
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